Friday, 4 January 2008

trabalho aparente

ficou de fora mas merece atenção:

(e lá o seu milagre) ; ni exorbite ni renforcé, sans bourrelet, sans poche et si l’on peut dire sans peau, il est la fente lisse d’une surface lisse. La prunelle, intense, fragile. Móbile, intelligente (car cet oeil est barre, interrompu par le bord supérieur de la fente, semble receler de la sorte une pensivité retenue, un supplément d’intelligence mis en reserve, non point derrière le regard, mais au-dessus), la prunelle n’est nullement dramatisée par l’orbite, comme il arrive dans la morphologie occidentale; l’oeil est libre dans sa fente (qu’il emplit souverainement et subtilment), et c’est bien à tort (par un ethnocentrisme évident) que nous le déclarons bridé; rien ne le retient, car inscrit même a la peau, et non sculpté dans l’ossature, son espace est celui de tout le visage. L’oeil occidental est soumis à toute une mythologie de l’âme, centrale et secrete, dont le feu, abrité dans la cavité orbitaire, irradierait vers un exterieur charnel, sensuel, passsionel; mais le visage japonais est sans hiertarchie morale; il est entierement vivant, vivace meme (contrairement a la legende de l’hieratisme oriental),

8 comments:

paoleb said...

segmento semântico que vai da complicação a implicação - serres pg 144.
o segmento em questão se prolonga naturalmente em direção a noçao de aplicação;

paoleb said...

on passe alors de la représentation général, structurée comme une theorie de la similitude ou de la correspondance ponctuelle, à la perception comme telle, puis à la connaissance, structurées comme une geometrie projective, ou theorie du ´situs´.

paoleb said...

universalidade da noçao de expressão, comum a todas as formas.

paoleb said...

a universalidade não é aqui tomada em termos de implicação (totalidade concentrada em um indivíduo), mas em termos de aplicação ou de relação em geral.

paoleb said...

Mônada:
Uma mônada (do grego monas, unidade) é uma unidade por si mesma, analisável em princípio ativo denominado alma, forma substancial ou enteléquia e em um princípio passivo dito massa ou matéria primeira. A mônada encerra um tipo de percepção e de apetição. É uma substância simples, sem partes. Toda mônada é um espelho vivo do universo, a partir de seu ponto de vista. Já que tudo que existe é uma mônada, um composto de mônadas, estas são átomos substanciais. [M. 1-21]

paoleb said...

http://www.leibnizbrasil.pro.br/leibniz-glossario.htm

paoleb said...

... percevoir, c'est être écrit; connaître, c'est faire effort pour lire sa propre tabula écrite, ou préécrite. Mieux, percevoir c'est avoir été impressionné, ou imprimé; perception est impression (et l'impression sensible a la même définition que l'impression scrituraire: empreinte de quelque chose sur la cire d'une table. Dès lors, l'activité du sujet percevant consiste à reconnaître de l'exprimant dans l'imprimé, à retrouver, dans l'expression qu'il est passivement, l'impression que Dieu a gravée en lui à l'origine. Ou encore: l'impression est l'impliqué dont l'expression est l'expliqué, lénveloppé à develo´´er; mieux, elle este le "résultat de l'application de quelque chose sur quelque chose": d'un objet sur un objet, du sujet sur le sujet, des objets sur le sujet, du sujet sur les objets; Dieu este le sujet unique de cette application originaire qui a nom harmonie; c'est lui qui grave les formes les unes sur les autres, qui informe les formes, qui impressione les exprimants. Et pour comprendre comment la multiplicité est exprimé-imprimé dans l'un, il faut considérer les applications du multiple dans le multiple. Or, c'est ainsi que leibniz analyse la perception.

paoleb said...

quel philosophe, digne de ce nom a pu vraiment éviter le lien du poème au theorème? pg 54 eclaircissements